J'ai, en tant que psy depuis 15 ans, rencontré beaucoup de jeunes précoces (des centaines) mais aussi en tant que maman, j'ai été confrontée à la précocité intellectuelle (aussi appelée douance ou surdouance).

J'ai donc décidé d'étayer mes connaissances et de les mettre à profit pour aider les personnes qui, à un moment donné, se trouvent démunies face à cette différence.
Être précoce est une particularité qu'on imagine, comme une chance, un don. Mais pour la personne concernée, elle peut être synonyme de difficultés, d'incompréhensions et de souffrances. 

Parce que mal connus, ou non détectés, les jeunes intellectuellement précoces doivent parfois affronter un parcours semé d'embûches, tant sur le plan social que scolaire.

En les aidant à comprendre qui ils sont, et en les accompagnant au quotidien, les parents ont auprès de leurs enfants, un rôle crucial à jouer. 
Mon approche se fait donc à deux niveaux, à la fois auprès du jeune concerné, et à la fois au niveau de ses parents. De manière que la famille comprenne et prenne conscience de cette particularité.

Il n'est pas toujours facile de repérer un enfant intellectuellement précoce (EIP).
Les EIP représentent environ 2 à 3 % des enfants, quel que soit le milieu. En moyenne, cela représente donc un enfant pour deux classes ! Près d’un tiers des EIP est en échec scolaire !

Voici quelques pistes de travail bien sûr à adapter en fonction de chaque cas :

• Apprendre à canaliser son mental envahissant
• Apprendre à canaliser sa colère
• Méthodologie de travail scolaire
  
• Travailler l'attendu scolaire
• Comprendre les implicites différents
• Rebooster la confiance et l'estime de soi
• Gérer l’ennui
• Appréhender l'autorité
• Comprendre la pensée en arborescence (apprendre à canaliser un mental envahissant)
• Travailler les émotions
• Optimiser la socialisation (canaliser et travailler la communication)
• L’attrait pour la complexité...
• Accompagnement des parents